21 août 1964

Maintenant je sens en moi un goût de pluie qui vient de tomber,toute vivacité de la vie a un fond de larmes :seule une force confuse me dit qu’un nouveau tempscommence pour tous et nous oblige à être nouveaux.Peut-être — pour qui a senti et s’est donné — c’est l’engagementnon plus à sentir et àLire la suite « 21 août 1964 »